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VIOLENCES CODIV-19
Le confinement à domicile est en facteur de risque supplémentaire pour les personnes victimes de violences au sein de leur foyer. Dans les pages qui suivent toutes les informations relatives aux régions sur ce sujet
Page 2 : Hauts-de-France
Page 3 : Bourgogne Franche Comté
Page 4 : Grand Est
Page 5 : Île-de-France
Page 6 : Centre Val-de-Loire
Région HAUTS-DE-FRANCE
"Pour les femmes déjà sous l’emprise ou la surveillance de leur conjoint, il est clair que le fait de se retrouver confiné avec cette personne constitue un vrai accélérateur de violences", explique Delphine Beauvais, directrice du pôle "violences faites aux femmes" de l’association Solfa (Solidarité Femme Accueil) qui gère 25 services et centres d’hébergement pour les femmes et les enfants victimes de précarité et de violence familiales en Hauts-de-France.
Un fait inquiète particulièrement les travailleurs sociaux : depuis le début du confinement, le nombre d'appel au 3919, numéro national pour les victimes de violences conjugales, a baissé de façon importante, tout comme ceux reçus auprès des associations. Les victimes hésiteraient en effet à demander de l'aide ou à appeler un service d'écoute en présence de leur conjoint.
Le premier conseil à donner est donc de ne jamais se séparer de son téléphone de façon à pouvoir appeler la police ou un proche en cas d'urgence. La personne violente pourra ainsi être interpellée et mise à l’écart, comme le veut la loi. "Il faut insister aussi sur le fait que la Police n’a pas le droit de vous refuser le dépôt d’une plainte, les violences faites aux femmes étant considérées comme des priorités, même en période de confinement", rappelle Delphine Beauvais.
En cas de violence, contacter le 39 19
Ce numéro d’écoute nationale répond chaque jour de 8 heures à 22 heures. Il est gratuit et anonyme, c’est-à-dire n’apparaissant pas sur la facture téléphonique.
Pour contacter l’un des quatre centres de l’association Solfa :
- À Lille, au 03 20 57 94 27
- À Dunkerque au 03 28 26 46 75
- À Hazebrouck au 03 28 44 43 77
- Pour le pas de Calais au 03 21 70 82 75
- À Lille, l’accueil de jour ROSA (94 rue de Wazemmes) est ouvert et joignable au 06 58 23 65 79. Il continue d’accueillir les femmes, dans le respect des règles de sécurité sanitaires en vigueur.
Région BOURGOGNE FRANCHE COMTE
En Bourgogne-Franche-Comté, des structures restent ouvertes pour les soutenir et les conseiller.
Jeudi 26 mars 2020, le Ministre de l’intérieur a annoncé que les interventions des forces de l’ordre à la suite de signalements pour des violences conjugales avaient considérablement augmenté depuis la mise en place du confinement mardi 17 mars (+ 32 % en zone gendarmerie).
En effet, un conjoint ou un parent violent en temps normal peut l'être encore plus avec l’enfermement et le stress que cela implique ; et une personne non violente peut même le devenir, ce type de situation favorisant le passage à l’acte.
Face à ces risques, il est rappelé que si il est déconseillé de sortir, il n’est bien sûr pas interdit de fuir quand on est victime de violences à son domicile.
Le 3919, numéro national d’accueil des victimes de violences reste ouvert du lundi au samedi, de 9 h à 19 h (ce numéro anonyme et gratuit n’apparait pas sur les relevés téléphoniques).
En cas d’urgence, il faut appeler le 17, qui déclenchera une intervention de la police ou de la gendarmerie.
Un dispositif d’alerte dans les pharmacies
En outre, un plan d’aide aux victimes, spécifique au confinement, vient d’être mis en place, en collaboration avec les pharmacies. En allant chercher des médicaments, si elle est seule, la victime peut prévenir le pharmacien qui alertera tout de suite les forces de l'ordre. Elles viendront alors immédiatement.
En Bourgogne-Franche-Comté, les associations restent mobilisées et disposent de numéros dédiés (voir coordonnées ci-dessous).
Enfin, les victimes et témoins peuvent effectuer un signalement de violence en ligne en cliquant ici.
Les coordonnées des associations locales BOURGOGNE FRANCHE COMTE
- En Bourgogne-Franche-Comté :
Tél : 0800 08 11 11 (numéro vert anonyme et gratuit) du lundi au samedi de 9h à 20h.
Mail : planningfamilial71@orange.fr / Site : www.planning-familial.org
- Dans la Nièvre :
Tél : 03 45 52 31 14 ou 03 86 59 13 51, le mardi, jeudi et vendredi de 8h30 à 12h15 et de 13h30 à 16h45.
Mail : cidff58@gmail.com / Site : nievre.cidff.info
- Dans l’Yonne :
Tél : 07 86 18 76 62 du lundi au vendredi 9h à 17h / 06 77 96 51 82 le mardi, mercredi, vendredi de 9h à 12h.
Mail : accueil@cidff89.fr / Site : yonne.cidff.info
- Dans le Doubs :
Tél : 07 57 50 68 75, du lundi au vendredi de 10h à 12h.
Mail : contact.cidff25@gmail.com / Facebook : cidff Doubs
Tél : 03 81 81 03 90, du lundi au vendredi de 9h30 à 12h30.
Mail : chrs@solidaritefemmes25.org / Site : solidaritefemmes25.org
- En Côte-d’Or :
Tél : 03 80 67 17 89, du lundi au vendredi de 9h à 17h.
Mail : solidaritefemmes21@outlook.fr / Site : solidaritefemmes21.fr
- En Haute-Saône :
Tél : 03 84 76 32 38, le lundi et jeudi de 9h à 12h et de 14h à 17h, le mardi, mercredi, vendredi de 9h à 12h.
Mail : cidff70-secretariat@laposte.net / Site : hautesaone.cidff.info
- Dans le Territoire-de-Belfort :
Tél : 06 02 04 33 92 (informations juridiques) ou 03 84 28 00 24, du lundi au vendredi de 9hà 12h et de 14h à 17h (sauf le mercredi matin).
Mail : cidf-belfort@orange.fr / Facebook : Cidff Belfort
- Dans le Jura :
Tél : 03 84 43 10 95, du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h (sauf mercredi après-midi).
Mail : cidff.39@orange.fr / Site : jura.cidff.info
- En Saône-et-Loire :
Tél. 03 85 32 42 01, le mardi, mercredi et vendredi de 9h à 12 et de 13h.
Mail : cidff71@orange.fr / Site : saoneetloire.cidff.info
Région GRAND EST
tel : 3919
Depliant violences conjugalesgdest (393.78 Ko)
Marlène Schiappa, secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, a sollicité l’ensemble des préfets pour l’organisation d’un Grenelle des violences conjugales.
Le Grenelle, ouvert le 3 septembre par Édouard Philippe, Premier ministre, vise à organiser, au niveau national et dans chaque département, des rencontres de travail avec les acteurs locaux confrontés sur le terrain à la prise en charge des femmes victimes de violences. L’objectif est de faire émerger des recommandations concrètes qui permettront d’améliorer les dispositifs existants ou de créer de nouveaux mécanismes de prévention et de lutte contre les violences conjugales.
Les dix départements du Grand Est sont pleinement mobilisés localement pour ce Grenelle.
Chaque préfet a organisé, selon les modalités les plus opportunes sur son territoire, des temps d’échanges et de concertation avec l’ensemble des acteurs locaux œuvrant à la prise en charge des femmes victimes de violences (forces de l’ordre, magistrats, avocats, professionnels de santé, associations, élus, etc.) : réunions des instances dédiées (comités locaux d’aide aux victimes ou commissions départementales d’action contre les violences faites aux femmes), ateliers, groupes de travail ou encore opérations de sensibilisation seront programmés jusqu’au mois de novembre dans l’ensemble de la région.
Ces échanges permettront de dresser un état des lieux du parcours de la victime en intégrant aussi bien l’accueil et la prise en charge des victimes de violences que les places d’hébergement pour une mise à l’abri ou encore la prise en charge des auteurs de violences pour diminuer les risques de récidives.
En complément de ces échanges avec les réseaux de partenaires, la délégation régionale aux droits des femmes et à l’égalité propose à tout citoyen qui le souhaite de faire part de ses propositions à l’adresse électronique suivante : drdfe@grand-est.gouv.fr
Lancement du Grenelle dans les départements du Grand Est
Ardennes
Dans les Ardennes, l'ouverture du Grenelle s'est déroulée le 4 septembre 2019. en présence du CLAV, l'inspection académique, les associations signataires du protocole départemental de prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes ainsi que les représentants des communautés de communes ou d'agglomérations.
Marne
Dans la Marne, le lancement du Grenelle s'est concrétisé par l'organisation d'une conférence de presse le 3 septembre 2019 co-présidée par le préfet, la procureure de la République près le TGI de Châlons-en-Champagne, le procureur de la République près le TGI de Reims et la vice-présidente du Conseil Départemental à laquelle ont été associés les principaux acteurs (parlementaires, forces de l'ordre, sous-préfets, associations, élus locaux...) soit au total près de 70 personnes. Plusieurs organes de presse étaient présents (France bleu, RCF, l'Hebdo du Vendredi, Puissance TV) et ont ainsi relayé l'information des réunions de concertation territoriale programmées dans tout le département afin d'associer la majorité des acteurs locaux aux travaux du Grenelle.
Moselle
À l’occasion du lancement du Grenelle, une convention relative à l’hébergement des femmes victimes de violences conjugales a été signée en Préfecture de la Moselle le 3 septembre 2019 entre l’État représenté par Monsieur Didier MARTIN, Préfet de la Moselle et les associations Est Accompagnement, AIEM, Athènes, Carrefour, CIDFF de Metz-Thionvlle, CIDFF de Moselle-Est, CMSEA, Fondation Armée du Salut, Horizon et l’UDAF.
La Convention a pour objectif de garantir la mise en sécurité des femmes victimes de violences, la fluidité de leurs parcours vers l’hébergement et le logement.
Elle définit les engagements, les modalités d’organisation, de fonctionnement et de partenariat entre les dispositifs : 115-SIAO, centres d’hébergement et dispositifs d’accueil des femmes victimes de violences.
Haute Marne
En Haute-Marne, la commission départementale de prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes, présidée par Mme la Préfète et M. le Procureur de la République, s'est réunie en préfecture le jeudi 5 septembre 2019 après-midi afin de lancer le Grenelle contre les violences conjugales.
Plus de 50 participants, représentants institutionnels, associatifs et élus étaient présents et ont pu participer aux échanges.
3 réunions de concertation thématiques suivront cette réunion, et un formulaire de consultation permettra à chacun-e de s'exprimer.
Vosges
Dans les Vosges, un premier groupe de travail s’est réuni le 3 septembre en Préfecture autour du préfet, de la Présidente du TGI, du procureur de la République, des principaux représentants des services de l’État, ainsi que des principaux partenaires locaux et associatifs.
Les échanges qui ont eu lieu ont permis d’établir un état des lieux des travaux précédemment initiés, de dégager une feuille de route claire avec pour objectif à court terme sa présentation au Comité Local d’Aide aux Victimes (CLAV), mais également d’envisager in fine une contractualisation locale entre les acteurs de l’État et leurs partenaires dans la perspective d’une prise en charge optimale des victimes de violences conjugales.
Meuse
Le préfet de la Meuse, Alexandre Rochatte et le procureur de la République de Bar-Le-Duc, Olivier Glady, ont lancé le 03 septembre 19 "le Grenelle contre les violences conjugales", date symbolique en écho avec le 39.19. Ce lancement a eu lieu en Sous-Préfecture de Commercy au sein d'un nouveau point d'accès aux droits, lieu de permanence juridique de l'association CIDFF 55 France Victime, pour l'accompagnement des femmes victimes de violences.
Le 16 septembre 2019, un groupe de travail élargi du Conseil Départemental de Prévention de la Délinquance (CDPD) "Violences faites aux femmes" a eu lieu sous la coprésidence, du préfet et des deux procureurs de la République de Bar-le-Duc, Monsieur Glady et de Monsieur Guillaume Dupont à Verdun.
Région ÎLE-DE-FRANCE
Dans la zone de la préfecture de police de Paris, les violences conjugales ont été en hausse de "36% en une semaine" a expliqué le ministre de l'Intérieur.
La mairie a ainsi annoncé la mise en place d'hébergements temporaires "en complément de l’éviction du conjoint violent, éventuellement ordonnée par l’autorité judiciaire". "Dix logements sociaux (T1, T2 et T3)", "seront attribués de manière temporaire, pour quelques semaines", détaille le Parisien qui précise aussi que onze places seront aussi proposées à des conjoints violents, notamment ceux qui sont sortant de prison et condamné pour de motif.
Dispositifs d'alerte
Outre le 17 pour contacter la police, plusieurs autres lignes permettent de sonner l'alerte. Le 39 19, (Violences Femmes info - numéro d’écoute nationale), le 0800059595 (Viols Femmes Informations), le 119 (Enfance en danger) et le 39 75, numéro d’accueil parisien permettent une écoute et un accompagnement.
Des points d’accès au droit parisiens sont aussi joignables par mail :
- contact.pad20@droitsdurgence.org
- pad19.courriel@gmail.com
- contact.pad18@droitsdurgence.org
- pad15.courriel@orange.fr
- contact.pad13@droitsdurgence.org
Par ailleurs, le ministère de l'Intérieur a mis en place une plateforme pour signaler des violences qui permet d'être assisté dans ses démarches.
Enfin, Le Tribunal judiciaire de Paris remet aussi des TGD (téléphone grave danger).
Alerter dans les pharmacies
Christophe Castaner a expliqué jeudi dernier sur France 2 qu'avec l'ordre national des pharmaciens il avait été décidé de mettre en place un dispositif au sein des pharmacies pour alerter les forces de l'ordre.
"Dans la pharmacie, au moment où la femme qui peut être battue, se rend sans son mari", il faut qu'elle "puisse donner l'alerte", a-t-il expliqué.
Des consignes seront données pour que les forces de l'ordre puissent "intervenir en urgence", a-t-il affirmé.
Région CENTRE VAL-DE-LOIRE
A Châteauroux, un dispositif d'alerte Bluetooth pour lutter contre les violences conjugales
Un nouveau dispositif Bluetooth pour aider les victimes de violences conjugales a été remis, ce vendredi 21 février, à plusieurs associations de Châteauroux par le maire de la ville Gil Avérous (LR). Le petit bouton numérique "Monshérif" permet d'envoyer des alertes géolocalisées à des proches.
hâteauroux (Indre) a fait un pas supplémentaire, ce vendredi 21 février, dans la lutte contre les violences faites aux femmes. Le maire de la ville, Gil Avérous (LR), a remis 20 dispositifs d'alerte "Monshérif" aux associations pour la défense des femmes victimes de violence : Nous toutes 36, ADAVIM, CIDFF, Solidarité accueil.
Celui qui est aussi le président du Centre communal d'action sociale (CCAS) a rapidement montré à l'assemblée comment fonctionne le petit bouton nommé "Monshérif". Le petit outil doit se clipser sur un vêtement ou être glissé dans une poche. Ensuite, il suffit d'installer l'application sur son téléphone et saisir les contacts que l'on veut contacter en cas de problème.
Un seul clic sur le bouton envoie un message rassurant. Deux clics rapprochés envoient trois messages d'alerte et appellent automatiquement les cinq proches sélectionnés. Dans les deux cas, la géolocalisation est transmise. Un clic long déclenche une sirène dans le téléphone pour faire fuir un assaillant ou enregistre l'ambiance sonore.
Des violences en hausse dans l'Indre ?
Le petit outil de 2,5 centimètres de diamètre fait donc office de télécommande et est relié à distance par Bluetooth avec son téléphone. La portée maximale entre le bouton et son portable est ainsi de 20 mètres.
Le dispositif existe depuis 2016. Il avait été testé, dans un premier temps, dans l'Yonne, en octobre 2019. Depuis, "Monshérif" a fait son chemin et est désormais soutenu par le ministère de la Justice et le grenelle des violences conjugales.
Près de 200 plaintes pour violences conjugales ont été déposées auprès de la gendarmerie de l'Indre, en 2019. Un chiffre en hausse par rapport à 2018. Et, encore beaucoup de femmes victimes de violences n'osent pas encore porter plainte contre leur agresseur.
A Orléans, l’association "Aide aux victimes du Loiret" accueille, écoute, accompagne psychologiquement et informe toute personne qui se considère victime d’une infraction. Les juristes de l’association informent sur les droits (dépôt de plainte, indemnisation) ainsi que sur les actes de procédure que peut avoir à faire la victime.
L'association agit en lien direct avec le Parquet d’Orléans.
Dispositif Evvi pour "évaluation de la victime"
Depuis le 1er octobre 2019, sur réquisition du Parquet, l'association AVL 45 évalue les victimes c’est-à-dire qu’elle réalise une "photographie" de la victime, de sa situation, de ses facteurs de vulnérabilité dans le but d’indiquer au magistrat, au Procureur les précautions qu’il doit prendre pour protéger la victime.
TGD : Téléphone Grave Danger
Le Téléphone Grave Danger a été mis en place en 2014 et permet à une personne victime de violence de la part de son conjoint ou ex-conjoint d’alerter les forces de l’ordre en cas de danger et ainsi de permettre leur intervention très rapidement. Dans le cadre de ce dispositif, l’association AVL 45 rencontre les personnes qui pourraient avoir besoin de ce téléphone, estime les risques encourus et fait un rapport au substitut du Procureur qui décide de l’attribution du téléphone pour une période de 6 mois (renouvelable).
C’est notamment l’une des missions de Marie-Cécile Santin, substitut du Procureur de la République d'Orléans, référente violences conjugales : "L'association AVL est un partenaire essentiel notamment dans le cadre des violences conjugales".
"Signalement hospitalier"
Quand une personne se présente à l’hôpital parce qu'elle est victime de son conjoint par exemple, elle n’a pas forcément encore déposé plainte parce que, souvent, elle a peur de le faire. Les services hospitaliers lui font remplir un formulaire pour signaler sa situation. A ce moment-là, l’association est informée et peut aider la victime.
Une astreinte téléphonique le week-end et les jours fériés
Si une victime dépose plainte durant le week-end (ou jour férié), l’association en est informée et peut agir rapidement pour accompagner la victime afin qu’elle ne se sent pas seule après son dépôt de plainte.
Des permanences à Orléans, Montargis, Gien et Pithiviers
L'association "Aide aux victimes du Loiret" assure des permanences juridiques :
Au commissariat de police d'Orléans, 63 rue du Faubourg St-Jean : le mercredi de 14h à 17h
A la maison de la justice et du droit, 3 rue Edouard Branly à Orléans - La Source : les 2èm et 4ème mercredi du mois de 9h à 12h sur rendez-vous au 02 38 69 01 22
Au palais de justice d'Orléans, 44 rue de la Bretonnerie : le lundi de 9h à 12h et de 14h à 17h, le mercredi de 14h à 17h et le vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h
Au commissariat de police de Montargis, 13 rue du port : 2ème et 4ème vendredi du mois de 9h à 12h
Au palais de justice de Montargis, 84 rue du général Leclerc : 1er, 2ème et 4ème mercredi du mois de 13h30 à 17h. 1er et 3ème vendredi du mois de 9h à 12h
Au point d'accès au droit à Gien, 12 rue de l'hôtel de ville. 1er et 3ème mardi du mois de 9h à 12h et de 13h à 16h
Au centre social "Terre en couleurs", place Camille Claudel à Pithiviers : 2ème et 4ème mardi du mois de 9h à 12h sur rendez-vous au 02 38 32 84 91
En 2019, l'association a eu 3428 appels et elle a reçu 1843 personnes.